Archives de Récit de course

On a couru sur le circuit du Mans

Ce weekend, première participation aux Foulées du Bugatti et plus précisément au Marathon Relais du dimanche matin. Dès le retrait des dossards la veille, on sent bien que le Marathon Relais n’est qu’une course annexe et que l’événement principal est Les Demoiselles du Bugatti qui rassembleront plus de 12 000 participantes.

Le dimanche matin, on retrouve les ingrédients habituels d’une course à pied, à savoir une procession de gens vêtus de tenues multicolores se dirigeant vers un même point. Pour l’occasion ce point n’est autre que la ligne droite des stands du mythique circuit du Mans, aussi bien le Bugatti que celui des 24h car les deux circuits partagent la même pitlane. Les règles du départ sont quelques peu confuses, tout comme celles des relais, nous confirmant le sentiment de course annexe ressenti la veille.
.

marathon-le-mans-2014

A 9h30 précises le départ type le Mans est donné, les coureurs traversent la piste en chaussettes, lacent leurs chaussures et s’élancent pour un marathon. Notre première relayeuse (elle se reconnaitra) part au milieu du peloton portant fièrement les couleurs de l’équipe Eternel Le Mans, elle bouclera les 7km du parcours constitué du circuit Bugatti et d’un passage par le MMArena en moins de temps que prévu. Pour ma part j’assurerais le deuxième relais avec deux tours de parcours dans les temps prévus mais sans une performance de très haut niveau. Lorsque l’on est habitué à avoir une borne kilométrique tous les kilomètres il est compliqué de régler son allure lorsque l’on est privé de celles-ci. Le troisième relayeur d’Eternel Le Mans (il se reconnaitra également) sera le plus rapide de notre équipe au cours du weekend et nous permettra de remonter encore un peu plus dans le classement au cours de ses deux boucles. Notre finisher (il se reconnaitra aussi) donnera tout et finira au sprint pour assurer le meilleur temps possible notre équipe.

Au final, nous terminons le Marathon Relais en 3h27’27 ce qui nous donnera la 195ème place du classement général et la 41ème position parmi les équipes de 4 relayeurs. Un résultat qui nous satisfait pleinement étant donné qu’il y avait près de 640 équipes au départ. En conclusion le Marathon Relais des Foulées du Bugatti est une épreuve originale dont l’intérêt réside dans l’esprit d’équipe (il est rare de courir à plusieurs) et le lieu de course qui reste mythique pour tout amateur de course automobile et plus généralement de sport.

.

Retrouvez ici l’ensemble des résultats du Marathon Relais des Foulées du Bugatti
.

London baby !

 Chacun à sa propre hiérarchie des marathons internationaux et si New York est quasiment unanimement reconnu comme un must, derrière on retrouve souvent ceux de Londres, Boston ou encore Berlin. En caricaturant, Boston pour son histoire, Berlin pour la possibilité d’y faire un chrono et enfin Londres pour son ambiance, « atmosphere » comme disent nos amis britanniques. Si avec seulement deux marathons au compteur (Paris et Londres aujourd’hui) on ne peut pas juger de la hiérarchie internationale, en terme d’ambiance, le marathon de Londres est bien un incontournable.

La journée commence tôt car le départ et loin du centre ville et il faut s’y rendre en bus avant que les routes ne soient fermées. Notre chauffeur de bus se perdra à plusieurs reprises, sans doute des réminiscences de l’humour britannique envers l’éternel ennemi français. Le départ est situé sur la colline de Greenwich village au Sud Est de Londres. En arrivant on à l’impression de prendre part à une garden partie géante, les gens sont assis dans l’herbe et tuent le temps en attendant le départ programmé deux heures plus tard. Beaucoup s’adonne à une petite sieste dans l’herbe au soleil, car oui il peut faire beau et chaud à Londres en avril.London Marathon Greenwich 2014

 

Le départ est donné à 10h, petite spécialité locale, le départ est le même pour les pros hommes et pour les amateurs, tout les sas partent les un derrière les autres, résultat on franchit la ligne de départ un peu plus de trois minutes après les coureurs pro, de quoi faire rêver les participants au marathon de Paris.

Les anglais sont réputés bruyant, ils vont faire honneur à leur réputation dès le départ et ce jusqu’au 42ème kilomètre (26ème mile), il y a des spectateurs tout au long du parcours, souvent sur plusieurs lignes qui encouragent et hurlent lors du passage des coureurs. En tant que simple amateur, on a l’impression de battre un record olympique à chaque kilomètre. Et que dire de leur gentillesse, les gens vous offrent de l’eau (en plus des ravitaillements officiels), des morceaux d’orange, des bonbons ou encore des parts de gâteaux faits maison, quelle générosité !

La plupart des concurrents courent pour des associations caritatives, en début de marathon cela parait étrange, on à l’impression de courir au milieu de la liste des pires maladies existantes. Mais chaque association à de nombreux supporters qui donnent de la voix pour encourager les coureurs et participent grandement à l’ambiance générale. En plus de ces associations caritatives, nombreux étaient les coureurs déguisés cette année car le Marathon de Londres tentait de battre le record du nombre de coureurs déguisés. Pèle mêle j’ai donc doublé ou croisé un jockey, une mariée, madame Doubtfire, la reine d’Angleterre, la mairie de Londres, une cabine téléphonique, un rhinocéros, un homme boule à facettes …

Après un parcours au sud de la tamise on franchit le fleuve par Tower Bridge, un grand moment du Marathon, après avoir contourné la Tour de Londres, le parcours fait une boucle et on croise les concurrents qui ont plus de 10km d’avance sur nous. Au moment de notre passage, on croise tous les professionnels dont Mo Farah. La aussi quelle ambiance, imaginez une marrée humaine qui arrive à mi-parcours et se met à hurler et applaudir au passage de Mo Farah, indescriptible. Et accessoirement croiser Mo Farah à moins de deux mètres en plein marathon est un plaisir personnel qui vaut bien les souffrances du marathon.

Après ce moment d’émotion on retombe dans la routine du marathon et les gros kilométrages (25, 30, 35) où la souffrance se fait sentir. Cette partie du parcours se fait dans Canary Wharf, sans grande visibilité ce qui est un peu dur pour le moral. A partir du 35ème kilomètre on retrouve des rues plus larges et l’on voit au loin Big Ben et Westminster qui signale l’arrivée. Malheureusement l’énergie vient à manquer et l’on ne profite pas réellement de ces derniers mètres et du passage sous les fenêtres de la reine.
.

Medaille Marathon London 2014

.
Après la déception du semi marathon de Paris ou le temps prévu avait été dépassé de 5 secondes, cette fois les mêmes secondes sont tombées du bon coté, avec un temps de 3h40’58 on reste dans la valeur symbolique des 3h40. La question ouverte est maintenant : quel est le prochain ?

.

 

1’35’05

Ce n’est pas le temps de Morrissette sur le circuit de Dijon-Prenois ou se dérouleront les essais de l’ASAVE la semaine prochaine, mais le temps de son pilote Bob la fumée lors du Semi-Marathon de Paris 2014. La barre des 1h35 aura donc tremblé tout au long de la course mais la cote du 16ème kilomètre associée au départ mouvementé auront finalement fait tomber celle-ci du mauvais coté. Les cinq secondes ont été perdues au départ, je ne comprendrais jamais pourquoi des gens s’inscrivent dans les sas de départ les plus rapides alors que leur rythme de course est plus adapté pour aller chercher le pain que pour battre un record olympique. En fin de course les jambes manquaient pour combler le temps perdu au départ, c’est néanmoins le meilleur temps de Bob sur la distance et une bonne préparation pour le prochain marathon de Londres.

Medaille Semi 2014

Comme d’habitude, l’organisation du Semi-Marathon de Paris était bien huilée avec en prime une météo idéale : grand soleil et température fraiche, espérons qu’il en sera de même dans quelques semaines en Angleterre. Il est toujours surprenant et agréable de croiser des têtes connues parmi l’immense marée humaine des 40 000 coureurs au départ de cette édition du Semi-Marathon, il y avait notamment un pilote d’Alfa Romeo plusieurs fois croisé aux Classic Days.

.

1000 bornes

Aucun lien avec le célèbre jeu de cartes, ni même avec les kilomètres effectués par Morrissette cette année en course, ceux-ci étant inférieurs. La distance de 1000 kilomètres correspond au nombre de kilomètres parcourus par Bob la Fumée en course à pied.

1000 Bornes

Les différents entrainements pour le semi marathon de Paris, marathon de Paris et bien évidement la préparation physique des différentes courses du championnat ASAVE  sont l’explication de cette distance. Les 1000 kilomètres ayant été parcourus à la vitesse moyenne de 12 km/h, cela vous donne une petite idée du temps passé à l’entrainement (83 heures pour ceux qui ne sont pas fans des calculs mentaux).

L’année 2014 devrait être aussi riche en kilomètres de course à pied puisqu’en parallèle des différentes courses automobiles, de nouveaux défis pédestres sont au programme.

.

Premier marathon terminé, défi relevé

Dimanche 7 avril, Paris

Après plus de 3 mois de préparation c’est enfin le grand jour, celui du Marathon. La question est toujours la même : suis-je prêt ? On ne peut jamais réellement y répondre … dans l’ensemble la préparation fut bonne, seulement perturbée dans ses débuts par des problèmes de genoux. Les derniers jours ont été plus difficiles, dos bloqué jeudi et vendredi ou encore mal de gorge ce matin. S’agit-il d’une réaction du corps à la baisse des entrainements cette dernière semaine ou simplement une marque du stress, on ne le saura jamais réellement. Autre élément perturbateur pour le moins cocasse, un voisin qui regarde The Voice le volume à fond et chante devant l’émission (véridique) la veille du marathon ou vous devriez normalement vous coucher tôt.

Réveil à 5h30, pour avoir le temps de prendre un petit déjeuner et de digérer celui-ci avant le départ du marathon fixé aux alentours de 9h00. Ensuite le rituel habituel, vérification du sac fait la veille, mise de l’habit de lumière ou plutôt de combat dans le cas du Marathon et direction la ligne de départ. On retrouve les habituelles rames de métro bondées de femmes et d’hommes vêtus de couleurs flashy se dirigeant tous vers la place Charles de Gaulle. Comparé aux autres courses auxquelles j’ai participé, l’ambiance reste bon enfant dans le métro mais on sent quand même une tension supérieure, un marathon se respecte et il fait peur à tous quelque soit le niveau.
.

arc-de-triomphe

.
L’attente dans le sas par zéro degré est plutôt longue et le départ est vécu comme un soulagement. Les premiers kilomètres se passent bien et permettent au corps de monter en température. L’approche d’un marathon est complètement différente de celle d’un semi-marathon, il faut laisser les kilomètres venir à soi et toujours en garder sous le pied. Comme lors de toutes les courses avec de très nombreux participants (40 000 personnes au départ dans le cas de Paris), il faut se frayer un passage parmi le peloton compact ce qui entraine d’incessantes relances fatigantes sur la longueur d’un marathon.

Après avoir beaucoup lu sur le marathon (trop peut être), tous recommandent d’écouter son corps dans les premiers kilomètres et de ne plus l’écouter ensuite. Une remarque qui revient souvent est « le marathon commence réellement au 30ème kilomètre » ou encore « on sait où on en est à partir du 35ème kilomètre ». Il serait plus juste de dire que l’on commence à souffrir à partir du 30ème kilomètre et son fameux mur ! Si le marathon est avant tout un sport individuel et un combat contre soi même, un peu d’aide et de solidarité peut aider pour la performance. En effet, dès le 32ème kilomètre j’ai commencé à ressentir de violentes crampes au niveau des abdominaux, celles-ci auraient pu m’inciter à ralentir ou à abandonner. C’était sans compter sur l’aide de Sylvain (qu’il en soit ici chaleureusement remercié) qui n’a cessé de mener l’allure, jouant le lièvre de luxe sur les derniers kilomètres tout en motivant toutes les personnes marchant sur le coté de la chaussée. C’est ca aussi l’esprit du marathon, le seul adversaire c’est soit même (du moins pour les amateurs) et le but est que tout le monde atteigne son objectif.

Les 200 derniers mètres en bas de l’avenue Foch sont un véritable bonheur, ceux-ci seront parcourus au sprint devant une foule impressionnante. Il est d’ailleurs intéressant de remarquer que le marathon est l’une des rares disciplines ou les spectateurs sont plus nombreux pour les amateurs que pour les professionnels. J’ai donc réussi aujourd’hui deux objectifs, le premier (avoué) de finir un marathon, et le second (secret) de le terminer en moins de 4h. Au final, j’aurais mis un peu plus de 3h46 pour boucler les 42,195 kilomètres de son premier marathon.
.

t-shirt-finisher

.

Le grand défi

Ce dimanche (7 avril), plus de 40 000 coureurs s’aligneront au départ du Marathon de Paris 2013. Derrière la carte postale idyllique d’un parcours de 42,195 km dans les rues de la capitale, le marathon est pour beaucoup un défi personnel et pour la majorité des coureurs le seul fait d’être à l’arrivée est une victoire.

Parmi ces 40 000 participants, il y en a un que vous connaissez plus particulièrement : Bob la fumée. Morrissette préparant en ce moment la saison au fond de l’atelier, son pilote est forcé de faire les 42,195 kilomètres du parcours à pied, sans l’aide de sa fidèle MG B. Bob conservera son habituel numéro 34 mais celui-ci sera agrémenté d’un 746 pour devenir le dossard numéro 34746, un sympathique clin d’œil à Morrissette. Le seul objectif de ce marathon sera de franchir la ligne d’arrivée, peu importe le chronomètre.

Affiche marathon

.
Pour vous donner un ordre d’idée, la préparation pour un Marathon c’est, en vrac :

  • Courir par -4 degrés
  • 2 paires de baskets
  • 2 tubes de Voltaren
  • 3 séances d’entrainement par semaine
  • 5 paires de chaussettes
  • 7 refus de priorité sur des passages piétons
  • 14 machines à laver
  • 14 semaines d’entrainement
  • 18 voitures de collection croisées lors des entrainements
  • Courir sous la pluie, la neige
  • 25 bananes
  • 30 compresses stériles
  • Plus de 40 heures d’entrainement
  • 100 douches
  • 150 litres d’eau bu
  • 500 km de course
  • 800 chansons écoutées dans le lecteur MP3
  • Une infinité de consultation de l’application météo

.
… reste maintenant à parcourir les 42,195 km du Marathon de Paris 2013.
.

Pour plus d’informations : www.parismarathon.com

.

1h36 de bonheur, de souffrance (rayer la mention inutile)

Dimanche 3 mars, Château de Vincennes

Après un réveil à 6h30 pour prendre le petit déjeuner 3h avant la course, direction l’esplanade du Château de Vincennes où est donné le départ de l’édition 2013 du Semi-Marathon de Paris. Le spectacle des coureurs bariolés, habillés de couleurs fluo dans le métro parisien est toujours aussi amusant en ce dimanche matin. Les rames sont aussi bondées qu’en semaine mais la bonne humeur générale compense le manque d’espace.

Après un échauffement dans les allées du bois de Vincennes, il est temps de rejoindre le sas de départ. La température extérieure frisant les zéros degrés associée à un petit vent froid ravive l’éternelle question : « Mais qu’est ce que je fais la ? » Chacun pouvant la décliner selon ses envies personnelles : « alors que je pourrais être sous ma couette » …  » alors que je pourrais regarder Auto Moto » …

A quelques minutes du départ, il se passe un phénomène physiologique étrange chez la plupart des sportifs, oubliées toutes les phrases prononcées les jours précédents : « je vais y aller doucement », « je fais la course sans pression » … celles-ci se transforment subitement en « c’est la guerre » ou encore « on ne lâche rien » ! Le même phénomène physiologique se produit également lorsque l’on enfile le casque dans une voiture de course, un événement curieux qui mériterait sans doute une étude scientifique approfondie !

Semi

.
Le parcours du Semi-Marathon de Paris est dans les grandes lignes identique à celui de l’année dernière, le parcours descend légèrement dans sa première moitié avant de remonter dans la seconde. Cette configuration rend la fin de course difficile, particulièrement entre les kilomètres 16 et 18 ou les jambes sont de plus en plus lourdes à mesure que la pente augmente. Après un petit peu plus d’1h36 de course, Bob la fumée en termine avec le parcours de 21,1 km ce qui lui donne la 3814ème place de ce Semi-Marathon de Paris 2013. A noter qu’1h36 pour effectuer un peu plus de 21km constitue une bonne moyenne dans les bouchons parisiens un jour d’affluence.

La préparation physique pour la saison de course auto se continuera toujours avec de la course à pied et l’entrainement reprendra dès cette semaine. Pour les amateurs de course à pied, Morrissette et Bob la Fumée vous donnent rendez vous le 7 avril prochain, plus de détails vous seront donnés dans les semaines à venir.

20 km de Paris, pluvieux mais heureux

Dimanche 14 octobre, Tour Eiffel, Paris

Levé aux aurores (6h45) en ce dimanche matin pour Bob la Fumée afin d’avaler un petit déjeuner trois heures avant le départ des 20 km de Paris. Juste le temps de voir à la télévision la course de Moto GP du Japon et le premier quart d’heure du Grand Prix de Formule 1 de Corée avant de rejoindre la Tour Eiffel pour le départ des 20 km de Paris 2012. La météo est froide et les prévisions annoncent de la pluie à partir de 10h, heure de départ de la course. Ces prévisions se révéleront exactes alors que pour une fois, Bob la Fumée aurait aimé que les services de prévisions météorologiques fassent fausse route en ce dimanche matin.

Dès le métro on sent une ambiance particulière, les 25 000 coureurs étant partagés entre l’envie de courir et celle de rentrer chez eux en raison de la météo. Une fois sur place, après un cours échauffement, il faut se mettre en place sur le pont d’Iéna pour attendre le départ. Malgré la musique entrainante digne d’une boite de nuit, les premières goutes de pluie viennent glacer l’ambiance avant même le départ, chacun tente de se maintenir au chaud sous un k-way ou un sac poubelle. A ce moment précis ou un peu plus tard dans la course, chaque coureur se posera inmancablement l’éternelle question : qu’est ce que je fais la ?

.
Pour Bob la Fumée, la course se déroulera sans encombres, comme lors de chaque édition le départ est très chargé et il faut se faire sa place dans les premiers kilomètres ce qui fatigue les coureurs et diminue la performance. La pluie ne cessera de tomber tout au long des 20 km de Paris et Bob devra lutter contre le froid, particulièrement entre les 13ème et 16ème kilomètres. Le temps final sera de 1h32 et 30 secondes, soit un temps inférieur aux prévisions. Cela donne à Bob la Fumée la 3028ème position sur les 22792 coureurs à l’arrivée (25 000 inscrits), la encore les résultats sont supérieurs aux prévisions car le plan était de terminer dans les 5000 premiers coureurs.

La saison 2012 est désormais complètement terminée, il est temps de ranger les baskets sous la MG B et de mettre à profit l’hiver pour préparer la saison 2013 de Morrissette et de son pilote.

.

Articles Suivants »