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London baby !

 Chacun à sa propre hiérarchie des marathons internationaux et si New York est quasiment unanimement reconnu comme un must, derrière on retrouve souvent ceux de Londres, Boston ou encore Berlin. En caricaturant, Boston pour son histoire, Berlin pour la possibilité d’y faire un chrono et enfin Londres pour son ambiance, « atmosphere » comme disent nos amis britanniques. Si avec seulement deux marathons au compteur (Paris et Londres aujourd’hui) on ne peut pas juger de la hiérarchie internationale, en terme d’ambiance, le marathon de Londres est bien un incontournable.

La journée commence tôt car le départ et loin du centre ville et il faut s’y rendre en bus avant que les routes ne soient fermées. Notre chauffeur de bus se perdra à plusieurs reprises, sans doute des réminiscences de l’humour britannique envers l’éternel ennemi français. Le départ est situé sur la colline de Greenwich village au Sud Est de Londres. En arrivant on à l’impression de prendre part à une garden partie géante, les gens sont assis dans l’herbe et tuent le temps en attendant le départ programmé deux heures plus tard. Beaucoup s’adonne à une petite sieste dans l’herbe au soleil, car oui il peut faire beau et chaud à Londres en avril.London Marathon Greenwich 2014

 

Le départ est donné à 10h, petite spécialité locale, le départ est le même pour les pros hommes et pour les amateurs, tout les sas partent les un derrière les autres, résultat on franchit la ligne de départ un peu plus de trois minutes après les coureurs pro, de quoi faire rêver les participants au marathon de Paris.

Les anglais sont réputés bruyant, ils vont faire honneur à leur réputation dès le départ et ce jusqu’au 42ème kilomètre (26ème mile), il y a des spectateurs tout au long du parcours, souvent sur plusieurs lignes qui encouragent et hurlent lors du passage des coureurs. En tant que simple amateur, on a l’impression de battre un record olympique à chaque kilomètre. Et que dire de leur gentillesse, les gens vous offrent de l’eau (en plus des ravitaillements officiels), des morceaux d’orange, des bonbons ou encore des parts de gâteaux faits maison, quelle générosité !

La plupart des concurrents courent pour des associations caritatives, en début de marathon cela parait étrange, on à l’impression de courir au milieu de la liste des pires maladies existantes. Mais chaque association à de nombreux supporters qui donnent de la voix pour encourager les coureurs et participent grandement à l’ambiance générale. En plus de ces associations caritatives, nombreux étaient les coureurs déguisés cette année car le Marathon de Londres tentait de battre le record du nombre de coureurs déguisés. Pèle mêle j’ai donc doublé ou croisé un jockey, une mariée, madame Doubtfire, la reine d’Angleterre, la mairie de Londres, une cabine téléphonique, un rhinocéros, un homme boule à facettes …

Après un parcours au sud de la tamise on franchit le fleuve par Tower Bridge, un grand moment du Marathon, après avoir contourné la Tour de Londres, le parcours fait une boucle et on croise les concurrents qui ont plus de 10km d’avance sur nous. Au moment de notre passage, on croise tous les professionnels dont Mo Farah. La aussi quelle ambiance, imaginez une marrée humaine qui arrive à mi-parcours et se met à hurler et applaudir au passage de Mo Farah, indescriptible. Et accessoirement croiser Mo Farah à moins de deux mètres en plein marathon est un plaisir personnel qui vaut bien les souffrances du marathon.

Après ce moment d’émotion on retombe dans la routine du marathon et les gros kilométrages (25, 30, 35) où la souffrance se fait sentir. Cette partie du parcours se fait dans Canary Wharf, sans grande visibilité ce qui est un peu dur pour le moral. A partir du 35ème kilomètre on retrouve des rues plus larges et l’on voit au loin Big Ben et Westminster qui signale l’arrivée. Malheureusement l’énergie vient à manquer et l’on ne profite pas réellement de ces derniers mètres et du passage sous les fenêtres de la reine.
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Medaille Marathon London 2014

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Après la déception du semi marathon de Paris ou le temps prévu avait été dépassé de 5 secondes, cette fois les mêmes secondes sont tombées du bon coté, avec un temps de 3h40’58 on reste dans la valeur symbolique des 3h40. La question ouverte est maintenant : quel est le prochain ?

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Allons donc à London

Lorsque l’on s’engage pour son premier marathon et que l’on parvient à terminer celui-ci, deux réflexions viennent obligatoirement à l’esprit, soit « plus jamais ca », soit « Et maintenant ? C’est quoi le prochain ? ».  En ce qui me concerne le pilote de Morrissette, il a opté pour la seconde option et a du choisir sa prochaine destination pour un marathon. Refaire celui de Paris était une possibilité, mais tant qu’a souffrir pendant 42,195 km autant le faire dans un nouveau décor. Lorsque l’on est passionné d’automobiles de collection anglaises et que l’on apprécie la course à pied, le marathon de Londres s’impose comme une évidence !

London 2014

Avant de mettre le cap sur l’Angleterre, il a fallu s’astreindre à un programme d’entrainement hivernal copieu avec 3 sorties par semaine et plus de 600 km parcourus depuis début janvier. C’est assez rare pour être signalé mais le programme d’entrainement a été scrupuleusement respecté, pas une sortie annulée ou raccourcie. On peut maintenant le confesser, le Semi Marathon de Paris début mars n’a pas été fait à vitesse d’entrainement comme préconisé mais plutôt à fond pour tenter d’ aller chercher un chrono.  Un programme d’entrainement appliqué à la lettre ne garanti pas le succès au Marathon, celui-ci n’est d’ailleurs jamais garanti mais permet de partir l’esprit plus léger en se disant que tout a été fait pour préparer au mieux ce défi.

Ce dimanche (13 avril), on sera donc au départ du Virgin Money London Marathon au milieu de 40 000 participants dont Mo Farah pour un parcours de 42,195 km dans la capitale anglaise passant devant les principaux monuments pour se terminer devant Buckingham Palace.

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1’35’05

Ce n’est pas le temps de Morrissette sur le circuit de Dijon-Prenois ou se dérouleront les essais de l’ASAVE la semaine prochaine, mais le temps de son pilote Bob la fumée lors du Semi-Marathon de Paris 2014. La barre des 1h35 aura donc tremblé tout au long de la course mais la cote du 16ème kilomètre associée au départ mouvementé auront finalement fait tomber celle-ci du mauvais coté. Les cinq secondes ont été perdues au départ, je ne comprendrais jamais pourquoi des gens s’inscrivent dans les sas de départ les plus rapides alors que leur rythme de course est plus adapté pour aller chercher le pain que pour battre un record olympique. En fin de course les jambes manquaient pour combler le temps perdu au départ, c’est néanmoins le meilleur temps de Bob sur la distance et une bonne préparation pour le prochain marathon de Londres.

Medaille Semi 2014

Comme d’habitude, l’organisation du Semi-Marathon de Paris était bien huilée avec en prime une météo idéale : grand soleil et température fraiche, espérons qu’il en sera de même dans quelques semaines en Angleterre. Il est toujours surprenant et agréable de croiser des têtes connues parmi l’immense marée humaine des 40 000 coureurs au départ de cette édition du Semi-Marathon, il y avait notamment un pilote d’Alfa Romeo plusieurs fois croisé aux Classic Days.

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1000 bornes

Aucun lien avec le célèbre jeu de cartes, ni même avec les kilomètres effectués par Morrissette cette année en course, ceux-ci étant inférieurs. La distance de 1000 kilomètres correspond au nombre de kilomètres parcourus par Bob la Fumée en course à pied.

1000 Bornes

Les différents entrainements pour le semi marathon de Paris, marathon de Paris et bien évidement la préparation physique des différentes courses du championnat ASAVE  sont l’explication de cette distance. Les 1000 kilomètres ayant été parcourus à la vitesse moyenne de 12 km/h, cela vous donne une petite idée du temps passé à l’entrainement (83 heures pour ceux qui ne sont pas fans des calculs mentaux).

L’année 2014 devrait être aussi riche en kilomètres de course à pied puisqu’en parallèle des différentes courses automobiles, de nouveaux défis pédestres sont au programme.

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10km L’Equipe

Dimanche matin, lorsque les concurrents des 24 heures du Mans entameront la dernière ligne droite en vue de l’arrivée des deux tours d’horloge manceau, Bob la Fumée s’alignera au départ des 10km L’Equipe à Paris. Après avoir participé aux 20km, semi-marathon et marathon de Paris, cette course viendra compléter la liste des principales courses de la capitale disputées par Bob. Même si la préparation n’a pas été optimale, cela constituera un bon entrainement physique en vue de la prochaine épreuve du challenge ASAVE GT Tourisme qui se disputera justement sur le circuit Bugatti les 6 et 7 juillet prochain.

10km l'equipe

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Le parcours des 10km l’Equipe se concentre dans le centre et dans l’Est de Paris, les coureurs s’élanceront depuis l’hôtel de ville pour terminer sur la place de la Bastille après avoir traversé la place de la République et celle de la Nation. Si tout se passe bien pour Bob la Fumée, la place de la Bastille devrait être atteinte en un peu moins de 50 minutes.
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Parcours 10km

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Pour plus d’informations : http://www.10km.lequipe.fr

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Premier marathon terminé, défi relevé

Dimanche 7 avril, Paris

Après plus de 3 mois de préparation c’est enfin le grand jour, celui du Marathon. La question est toujours la même : suis-je prêt ? On ne peut jamais réellement y répondre … dans l’ensemble la préparation fut bonne, seulement perturbée dans ses débuts par des problèmes de genoux. Les derniers jours ont été plus difficiles, dos bloqué jeudi et vendredi ou encore mal de gorge ce matin. S’agit-il d’une réaction du corps à la baisse des entrainements cette dernière semaine ou simplement une marque du stress, on ne le saura jamais réellement. Autre élément perturbateur pour le moins cocasse, un voisin qui regarde The Voice le volume à fond et chante devant l’émission (véridique) la veille du marathon ou vous devriez normalement vous coucher tôt.

Réveil à 5h30, pour avoir le temps de prendre un petit déjeuner et de digérer celui-ci avant le départ du marathon fixé aux alentours de 9h00. Ensuite le rituel habituel, vérification du sac fait la veille, mise de l’habit de lumière ou plutôt de combat dans le cas du Marathon et direction la ligne de départ. On retrouve les habituelles rames de métro bondées de femmes et d’hommes vêtus de couleurs flashy se dirigeant tous vers la place Charles de Gaulle. Comparé aux autres courses auxquelles j’ai participé, l’ambiance reste bon enfant dans le métro mais on sent quand même une tension supérieure, un marathon se respecte et il fait peur à tous quelque soit le niveau.
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arc-de-triomphe

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L’attente dans le sas par zéro degré est plutôt longue et le départ est vécu comme un soulagement. Les premiers kilomètres se passent bien et permettent au corps de monter en température. L’approche d’un marathon est complètement différente de celle d’un semi-marathon, il faut laisser les kilomètres venir à soi et toujours en garder sous le pied. Comme lors de toutes les courses avec de très nombreux participants (40 000 personnes au départ dans le cas de Paris), il faut se frayer un passage parmi le peloton compact ce qui entraine d’incessantes relances fatigantes sur la longueur d’un marathon.

Après avoir beaucoup lu sur le marathon (trop peut être), tous recommandent d’écouter son corps dans les premiers kilomètres et de ne plus l’écouter ensuite. Une remarque qui revient souvent est « le marathon commence réellement au 30ème kilomètre » ou encore « on sait où on en est à partir du 35ème kilomètre ». Il serait plus juste de dire que l’on commence à souffrir à partir du 30ème kilomètre et son fameux mur ! Si le marathon est avant tout un sport individuel et un combat contre soi même, un peu d’aide et de solidarité peut aider pour la performance. En effet, dès le 32ème kilomètre j’ai commencé à ressentir de violentes crampes au niveau des abdominaux, celles-ci auraient pu m’inciter à ralentir ou à abandonner. C’était sans compter sur l’aide de Sylvain (qu’il en soit ici chaleureusement remercié) qui n’a cessé de mener l’allure, jouant le lièvre de luxe sur les derniers kilomètres tout en motivant toutes les personnes marchant sur le coté de la chaussée. C’est ca aussi l’esprit du marathon, le seul adversaire c’est soit même (du moins pour les amateurs) et le but est que tout le monde atteigne son objectif.

Les 200 derniers mètres en bas de l’avenue Foch sont un véritable bonheur, ceux-ci seront parcourus au sprint devant une foule impressionnante. Il est d’ailleurs intéressant de remarquer que le marathon est l’une des rares disciplines ou les spectateurs sont plus nombreux pour les amateurs que pour les professionnels. J’ai donc réussi aujourd’hui deux objectifs, le premier (avoué) de finir un marathon, et le second (secret) de le terminer en moins de 4h. Au final, j’aurais mis un peu plus de 3h46 pour boucler les 42,195 kilomètres de son premier marathon.
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t-shirt-finisher

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Premier marathon terminé : défi relevé

Dimanche 7 avril, Paris

Après plus de 3 mois de préparation c’est enfin le grand jour, celui du Marathon. La question est toujours la même : suis-je prêt ? On ne peut jamais réellement y répondre … dans l’ensemble la préparation fut bonne, seulement perturbée dans ses débuts par des problèmes de genoux. Les derniers jours ont été plus difficiles, dos bloqué jeudi et vendredi ou encore mal de gorge ce matin. S’agit-il d’une réaction du corps à la baisse des entrainements cette dernière semaine ou simplement une marque du stress, on ne le saura jamais réellement. Autre élément perturbateur pour le moins cocasse, un voisin qui regarde The Voice le volume à fond et chante devant l’émission (véridique) la veille du marathon ou vous devriez normalement vous coucher tôt.

Réveil à 5h30, pour avoir le temps de prendre un petit déjeuner et de digérer celui-ci avant le départ du marathon fixé aux alentours de 9h00. Ensuite le rituel habituel, vérification du sac fait la veille, mise de l’habit de lumière ou plutôt de combat dans le cas du Marathon et direction la ligne de départ. On retrouve les habituelles rames de métro bondées de femmes et d’hommes vêtus de couleurs flashy se dirigeant tous vers la place Charles de Gaulle. Comparé aux autres courses auxquelles Bob a participé, l’ambiance reste bon enfant dans le métro mais on sent quand même une tension supérieure, un marathon se respecte et il fait peur à tous quelque soit le niveau.

Arc de Triomphe

L’attente dans le sas par zéro degré est plutôt longue et le départ est vécu comme un soulagement. Les premiers kilomètres se passent bien et permettent au corps de monter en température. L’approche d’un marathon est complètement différente de celle d’un semi-marathon, il faut laisser les kilomètres venir à soi et toujours en garder sous le pied. Comme lors de toutes les courses avec de très nombreux participants (40 000 personnes au départ dans le cas de Paris), il faut se frayer un passage parmi le peloton compact ce qui entraine d’incessantes relances fatigantes sur la longueur d’un marathon.

Après avoir beaucoup lu sur le marathon (trop peut être), tous recommandent d’écouter son corps dans les premiers kilomètres et de ne plus l’écouter ensuite. Une remarque qui revient souvent est « le marathon commence réellement au 30ème kilomètre » ou encore « on sait où on en est à partir du 35ème kilomètre ». Il serait plus juste de dire que l’on commence à souffrir à partir du 30ème kilomètre et son fameux mur ! Si le marathon est avant tout un sport individuel et un combat contre soi même, un peu d’aide et de solidarité peut aider pour la performance. En effet, dès le 32ème kilomètre Bob a commencé à ressentir de violentes crampes au niveau des abdominaux, celles-ci auraient pu l’inciter à ralentir ou à abandonner. C’était sans compter sur l’aide de Sylvain (qu’il en soit ici chaleureusement remercié) qui n’a cessé de mener l’allure, jouant le lièvre de luxe sur les derniers kilomètres tout en motivant toutes les personnes marchant sur le coté de la chaussée. C’est ca aussi l’esprit du marathon, le seul adversaire c’est soit même (du moins pour les amateurs) et le but est que tout le monde atteigne son objectif.

Les 200 derniers mètres en bas de l’avenue Foch sont un véritable bonheur, ceux-ci seront parcourus au sprint devant une foule impressionnante. Il est d’ailleurs intéressant de remarquer que le marathon est l’une des rares disciplines ou les spectateurs sont plus nombreux pour les amateurs que pour les professionnels. Bob a donc réussi aujourd’hui deux objectifs, le premier (avoué) de finir un marathon, et le second (secret) de le terminer en moins de 4h. Au final, Bob la fumée aura mis un peu plus de 3h46 pour boucler les 42,195 kilomètres de son premier marathon.

T shirt finisher

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Le grand défi

Ce dimanche (7 avril), plus de 40 000 coureurs s’aligneront au départ du Marathon de Paris 2013. Derrière la carte postale idyllique d’un parcours de 42,195 km dans les rues de la capitale, le marathon est pour beaucoup un défi personnel et pour la majorité des coureurs le seul fait d’être à l’arrivée est une victoire.

Parmi ces 40 000 participants, il y en a un que vous connaissez plus particulièrement : Bob la fumée. Morrissette préparant en ce moment la saison au fond de l’atelier, son pilote est forcé de faire les 42,195 kilomètres du parcours à pied, sans l’aide de sa fidèle MG B. Bob conservera son habituel numéro 34 mais celui-ci sera agrémenté d’un 746 pour devenir le dossard numéro 34746, un sympathique clin d’œil à Morrissette. Le seul objectif de ce marathon sera de franchir la ligne d’arrivée, peu importe le chronomètre.

Affiche marathon

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Pour vous donner un ordre d’idée, la préparation pour un Marathon c’est, en vrac :

  • Courir par -4 degrés
  • 2 paires de baskets
  • 2 tubes de Voltaren
  • 3 séances d’entrainement par semaine
  • 5 paires de chaussettes
  • 7 refus de priorité sur des passages piétons
  • 14 machines à laver
  • 14 semaines d’entrainement
  • 18 voitures de collection croisées lors des entrainements
  • Courir sous la pluie, la neige
  • 25 bananes
  • 30 compresses stériles
  • Plus de 40 heures d’entrainement
  • 100 douches
  • 150 litres d’eau bu
  • 500 km de course
  • 800 chansons écoutées dans le lecteur MP3
  • Une infinité de consultation de l’application météo

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… reste maintenant à parcourir les 42,195 km du Marathon de Paris 2013.
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Pour plus d’informations : www.parismarathon.com

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Semi-Marathon de Paris 2013

La saison 2013 de Morrissette et de son pilote Bob la Fumée ne débutera pas comme de coutume par une course automobile mais par une course à pied. Le pilote de la MG B numéro 34 se présentera ce dimanche (3 mars) au départ du Semi-Marathon de Paris avec le dossard 8951. Un numéro bien plus élevé que celui habituellement porté par Morrissette, il faut dire que près de 40 000 participants sont attendus sur la ligne de départ du Semi-Marathon.

En raison d’une préparation perturbée par de soucis de genoux mais également par une grippe contractée ces derniers jours, il a fallu revoir les objectifs à la baisse. Bob la fumée ne se fixe donc pas spécialement d’objectif de temps mais tentera simplement d’en terminer avec le parcours d’un peu plus de 21km..

Semi Paris 2013

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Le Semi-Marathon de Paris débutera et arrivera à l’esplanade du chateau de Vincennes après un parcours dans l’Est et le centre de la capitale. Les lieux de départ et d’arrivée ne sont pas sans rappeler le parcours d’une célèbre manifestation dans l’univers de l’automobile de collection : la Traversée de Paris qui sé deroule en janvier et en août.
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Pour plus d’informations : www.semideparis.com

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